Après des années de chorale polyphonique et beaucoup de cris dans les manifs, Le Talu se met à écrire, chanter et rapper ses textes pendant des open mics sauvages, organisés lors du premier confinement dans les squats de Bruxelles. Dans le même temps, iel participe à la création du collectif de musique en mixité choisie "Gender Panik". Un collectif avec lequel iel expérimente les scènes cachées et polymorphes des réseaux de contestation anti-autoritaire. Le Talu découvre alors son nouvel endroit préféré : le studio d'enregistrement. Un lieu qu'iel fréquente assidûment depuis l'été 2021. En errance entre KobalaD, Lala&ce et Klaus Nomi, iel aime bien parler de sexe pas hétéro, se moquer des riches et nager dans l'autotune.

YOUTUBE - INSTAGRAM